Fin De Séance

Après une (trop) longue démobilisation due aux mouvements sociaux de la fin d’année, les alliés de FIN DE SÉANCE sont de nouveau prêt au combat (enfin pas au complet Ilan Ferry ayant préféré momentanément déserter), pour repartir en guerre contre les mauvais films et soutenir le bon cinéma avec un grand C.  Et quoi de mieux que le 1917 de Sam Mendes pour débuter les hostilités en ce début de nouvelle année ? Chargé de belles promesses justement en terme de cinéma pur, ce voyage au bout de l’enfer de la guerre des tranchées durant la Première Guerre Mondiale (d’où le titre hein), s’affiche depuis des mois, moins comme un film de guerre au sens traditionnel du terme, que comme une odyssée de la survie tendue comme un slip de poilus (une réponse au suffocant DUNKERQUE de Christopher Nolan ? Probablement !), doublé d’un défi technique que tous les bidasses de Fin de Séance espéraient voir mise au service d’une narration plus précise et mortelle qu’une balle de sniper. Alors le lieutenant Thomas « One Shot » Ca

[ATTENTION SPOILER]  Il y a bien longtemps, dans un podcast lointain, très lointain... La grève des transports fait rage dans tout l'hexagone et la fragile coalition des critiques du Hurling se voit forcée de battre en retraite. Mais ni la distance, ni la fureur sociale ne saura éteindre la flamme cinéphile des rebelles de Fin de Séance !  Et, alors que l'Ascension des Skywalker fond sur les salles françaises comme la foudre de l'orage hollywoodien, le jeune chroniqueur Pierre "c'est mon film, ma bataille" Delort s'empare du micro légendaire pour rallier les populations d'auditeurs et d'auditrices libres. Crédits : "Fin de Séance" est un podcast animé par Pierre Delort (FanFootage.fr) . Enregistré le vendredi 25 décembre 2019. Générique : Frédéric Delort (@fr-d-ric-delort) / Musiques d'illsutration : John Williams © Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Oh oh oh... pour ce numéro spécial Noel, petit papa FIN DE SEANCE vous rapporte dans sa besace non pas des cadeaux mais... des films !  Et oui, le temps est venu pour nous non pas de faire un sempiternel bilan annuel avec un top / flop mais plutôt de vous offrir une sélection forcément subjective des films qui représentent pour nous le mieux l'esprit de Noel. Et comme vous commencez à nous connaitre (il serait temps !), vous vous doutez que cette petite sélection sera forcément... insolite. Au programme : des sales petites bébêtes, des freaks, des fantômes un peu allumés et... une souris bien connue de tous ! Oui, pour Noel, Fin de Séance a décidé de vous gater ! Et pour ouvrir les gateaux, Thomas"who's your Santa ?" Camacho est entouré des gremlins Pierre "une dinde ok mais sans viande merci" Delort, Julien "j'ai garé mon traineau en double file" Munoz et Ilan "Rabbi Noel" Ferry. Prêts à vous laisser envahir par l'esprit de Nouel ? C'est parti !  Crédits : "Fin de Séance" est un podcast co-animé par Pier

Après avoir "libéré, délivré" leur verve sur la Reine des Neiges 2 (Vous n'écouterez plus jamais Julien Munoz de la même manière), la team FIN DE SÉANCE a décidé de revenir aux affaires "sérieuses" en vous parlant de deux films au casting quatre étoiles.  A commencer par le mastodonte THE IRISHMAN qui réunit pour la première fois devant la caméra de Martin Scorsese, les tontons flingueurs du cinéma américain : Robert de Niro, Al Pacino et Joe Pesci qui signe ici son grand retour au cinéma. Le fameux "filtre Netflix" a-t-il eu raison de la fresque mafieuse et désenchantée du grand Marty ? Les paris sont ouverts.  Face à lui Daniel Craig, Jamie Lee Curtis, Don Johnson, Toni Colette (pour ne citer qu'eux) sont "À COUTEAUX TIRÉS" sous l'oeil malicieux de Rian Johnson tout juste remis de son voyage dans une galaxie fort fort lointaine avec "Les Derniers Jedi". Là encore, les spéculations vont aller bon train ( attention aux spoilers !) et bien malin l'auditeur qui saura qui de nos quatre fiers chroniqueurs aura l

Noël n’est que dans un mois mais, à l’image de notre de société de consommation,  FIN DE SÉANCE se met déjà aux couleurs de l’hiver et de ses fêtes de fin d’années avec un double programme de films d’animation à l’ambiance plus ou moins blanche éclatante : LA REINE DES NEIGES 2 de Chris Buck et Jennifer Lee et KLAUS de Sergio Pablos. Bien évidemment, on commence avec le film d’animation de la maison Disney aussi attendu par tous les enfants du monde entier que redouté par leurs pauvres parents. Comme son titre l’indique, il s’agit de la suite du carton planétaire de 2013 et qui voit les sœurs Elsa et Anna, Kristoff et Sven et Olaf partir dans une nouvelle aventure plus très enneigée mais davantage propice à l’exploration des origines des pouvoirs de Elsa. Sachant que la majorité de notre équipe de culs gelés n’a que peu goûté au premier opus, passablement détesté autour de la table il faut le dire, il serait aisé de penser que cette séquelle va subir de plein fouet le réchauffement critique de ‘assemblée. Ma

Pied au plancher, les yeux rivés sur la route et les mains fermement fixés au volant, les poissons pilotes de FIN DE SÉANCE ont enclenché la seconde pour vous parler du MANS 66, le nouveau film de James "Logan" Mangold ! Deux ans après avoir offert une fin digne de ce nom au célèbre mutant, le cinéaste revient pour une nouvelle affaire d'hommes convoquant cette fois un casting quatre étoiles avec Matt Damon et Christian Bale en pole position. Revenant sur la mythique course ayant opposé les écuries Ford et Ferrari sur la poste du Mans en 1966, LE MANS 66 tient-il du duel de titans ou de la sortie de route ?  Réponse avec Thomas Camacho, le Enzo Ferrari du podcast accompagné des rutilants Pierre "2CV" Delort, Ilan "Crash Bandicoot" Ferry et Julien "j'aime l'odeur des pneus sur le bitume" Munoz. Prêts à pousser le champignon ? C'est parti !  Crédits : "Fin de Séance" est un podcast co-animé par Pierre Delort (FanFootage.fr) . Enregistré au Hurling pub (8 Rue Descartes, 75005 Paris), le vendredi 16 novembre

Deux salles, deux ambiances... voilà comment on pourrait résumer ce nouveau numéro de FIN DE SÉANCE qui après vous avoir fait frissonner de plaisir la semaine dernière, se la joue cette fois "Jean-Claude Van Damme du podcast" en faisant un grand écart (avec un coup de pied retourné !) avec deux oeuvres aussi différentes que... différentes ! À ma gauche : le poids pas si lourd que ça, MIDWAY, nouveau film de Roland " c'est pas la taille qui compte mais un peu quand même" Emmerich, chantre du blockbuster patriotique aussi à l'aise avec les extra-terrestres qu'avec les hommes de Cro-magnon rasta qui ici nous fait son grand film de guerre, sorte de "Tant qu'il y aura des hommes" version Lidl avec suppléments de fonds verts et d'acteurs inexpressifs. Et si l'enfer est pavé de bonnes intentions quid du nouveau film de Roland ? Les troufions de Fin de Séance sont sur le coup !  À ma droite, un challenger : J'AI PERDU MON CORPS, lauréat du Grand Prix de la Semaine de la Critique au dernier festival de Cannes. Une pr

Des bonbons ou la vie ? Pour l'équipe  FIN DE SÉANCE pas encore totalement remise des festivités d’Halloween, ce sera deux films sinon rien ! Et tant qu'à faire autant rester dans la thématique des monstres avec deux suites aux antipodes l'une de l'autre.  À ma gauche : DOCTOR SLEEP, suite de Shining et adaptation du livre éponyme de Stephen King dans lequel Ewan McGregor campe Danny Torrance, plus de trente ans après les évènements de l'hôtel Overlook. Cette fois confronté à une bande de "vampires" ayant une prédilection pour les enfants, Danny aura fort à faire pour protéger Abra, une jeune fille elle aussi dotée du Shining, de ces monstres sans pitié. Relevant le pari osé et casse-gueule de donner une suite au Shining de Stanley Kubrick, Doctor Sleep ne peut décemment pas se hisser à la hauteur du chef d’œuvre de Stanley Kubrick mais est-il mauvais pour autant ?  Les paris sont ouverts et le moins que l'on puisse dire c'est que la question divise. Moins sujet à polémique ? RETOUR À ZOMBIELAND prône la con

THEY'RE BACK ! Tels des Terminators bien décidés à ne pas se laisser déprogrammer, les membres de team Fin de Séance ont décidé d’enfiler leurs plus belles vestes en cuir, santiags et autres lunettes de soleil puissance 3000 direction l’apocalyptique décor du Hurling Pub.  Et ils ne sont pas seuls puisqu’ils sont accompagnés du « chêne autrichien de la critique », l’inoxydable, l’impétueux, Philippe Guedj, journaliste au Point Pop et animateur de l’excellent podcast Ciné-Crash ! Et il fallait bien une équipe de choc prête à dégainer ses fusils à pompe pour célébrer en grandes pompes (ou pas) le retour de la saga Terminator ! Suite directe de Terminator 2, TERMINATOR : DARK FATE prend donc le parti d’effacer de sa timeline, l’anecdotique Terminator, le soulèvement des machines, le mal-aimé Terminator : Renaissance et le vilain pas beau et carrément pas recommandable Terminator Genysis.  Nous sommes en 2022, Sarah Connor et son fiston ont empêché le Jugement Dernier, mais voilà qu’une nouvelle menace arrive d

Chez  FIN DE SÉANCE on n’a pas d’imagination mais on a de la suite dans les idées… à moins que ce ne soit des idées dans la suite...bref !  C’est pour cela que l’épisode de la semaine n’arborera pas une mais deux séquelles n’ayant pas grand-chose à voir l’une avec l’autre (à moins que…). En première partie, nos critiques mi-anges mi démons retournent dans les contrées de moins en moins enchanteresses de la maison Disney qui après les Dumbo, Aladdin et Le Roi Lion en remet une couche dans les adaptations live de ses classiques de l’animation fait maison avec MALÉFIQUE 2 : LE POUVOIR DU MAL de Joachim Rønning. Succédant au MALÉFIQUE de Robert Stromberg, succès surprise de l’année 2014 ,qui réinterprétait librement LA BELLE AU BOIS DORMANT de Disney (logique), sous le prisme de sa méchante sorcière toujours incarnée par Angelina Jolie, qui reprend du service aux côtés de Elle Fanning en princesse Aurore. Leur relation sera mise à rude épreuve par la préparation des futures épousailles d’Aurore et de son princ

Pas les derniers quand il s’agit de déconner, les joyeux lurons de FIN DE SÉANCE ont pourtant décidé de se la jouer plutôt sérieux pour tirer le portrait du JOKER de Todd Phillips (Very Bad Trip) avec Joaquim Phoenix dans le rôle titre. Oubliez l’agent du chaos Heath Ledger de la trilogieTHE DARK KNIGHT de Christopher Nolan et encore plus le clown gansta du lamentable SUICIDE SQUAD (incarné par le malheureux Jared Leto), ce JOKER là fait table rase des précédentes interprétations du Némésis de Batman (Batou pour les intimes), dans un opus déconnecté du bordélique DC Universe et apparemment désolidarisé de toute tentative de « franchisation » abusive et mercantile. A contre-courant des modes actuelles et des traitements post-moderno comique de la concurrence (suivez notre regard), cette origin-story indépendante se présente donc comme un pur drame psychologique décryptant la psyché tordue d’Arthur Fleck, comique raté au passé chargé, dont l’esprit, déjà fragile, va peu à peu sombrer du côté de la (pas) douce

Après la foire à la viande du dernier Rambo, les fins gourmets de Fin de séance restent dans le giron du cinéma d’action pour ce nouvel épisode consacré au très attendu et prometteur GEMINI MAN d’Ang Lee, avec Will Smith en tueur à gage d’élite pris en chasse par son propre clone juvénile. Si cet actioner SF au postulat digne d’une production pachydermique des années 90 (Jerry Bruckheimer oblige), intrigue depuis des mois la sphère cinéphile, ce n’est pas réellement pour son postulat scénaristique. A ce niveau, GEMINI MANressemble à n’importe quel star-véhicule de la filmographie égocentrique de Will Smith, peu ou pas du tout adepte des prises de risques quant à son statut d’acteur vedette. Le vrai intérêt de GEMINI MAN réside bel et bien dans ses conditions de projection HFR, puisqu’à l’instar de la trilogie du HOBBIT de Peter Jackson et de l’émouvant UNE JOURNEE DANS LA VIE DE BILLY (du même Ang Lee), le film, tourné en 120 images par seconde au lieu des 24 habituelles, se propose de révéler tout son sens

Toujours prompts à répondre à l’appel du devoir, les bidasses en folie de FIN DE SÉANCE ne pouvait que répondre favorablement à la mission de chroniquer la sortie de RAMBO : LAST BLOOD, cinquième opus des aventures du soldat John Rambo, toujours incarné par le granitique septuagénaire Sylvester Stallone. Après un précédent épisode marqué au fer rouge (qui s’était déjà donné pour objectif de conclure le parcours agité de notre vétéran du Viêtnam), tel un adieu aux la(r)mes des plus sanglants, Stallone n’a pu s’empêcher de prolonger la durée de vie de l’icône du cinéma d’action des années 80, avec un (apparemment) ultime baroud d’honneur qui prend le risque d’être considéré comme l’épisode de trop. Quelle idée aussi d’aller de nouveau solliciter John Rambo qui, rangé des voitures et (des tueries de masses) depuis plusieurs années, coule des journées paisibles dans le ranch familial avant que le kidnapping de sa nièce par d’odieux trafiquants de drogue mexicains désireux de la prostituer, ne l’oblige à retrouv

Cette semaine, l'équipe de FIN DE SÉANCE s'aventure dans les extrèmes ! Au plus profond des entrailles de la terre, pour commencer, à la recherche des origines de l'abominable clown meurtrier Pennywise dans ÇA - CHAPITRE 2, un film signé par l'argentin Andrés Muschietti : de retour à Derry, petite bourgade en apparence tranquille, la bande des "Loosers" a désormais changé de visage et affiche ainsi un casting de premier choix : Jessica Chastain et James McAvoy en tête ! Puis, direction l'immensité froide et solitaire de notre voie lactée pour y retrouver le soldat Brad Pitt, acteur et producteur de AD ASTRA, nouvelle réalisation du cinéaste américain James Gray qui délaisse ici les poisseuses ruelles new-yorkaises pour se perdre parmi les étoiles, apportant avec lui son amour des tragédies familiales aux accents de drames antiques.  Alors, pour en débattre - malheureusement sans Thomas "je me soigne" Camacho - nous retrouvons les deux pirates de la critique, Ilan "Stand by Me" Ferry et Julien "Interstellaa

"C'est pas parce que c'est la rentrée qu'on a pas le droit de se beurrer la biscotte !"  C'est sur ces paroles pleines de bon sens assénées par un Thomas Camacho visiblement pas tout à fait remis de ses vacances tunisiennes que nous avons décidé de vous concocter un numéro spécial : " les films que nous avons emporté en vacances".  Parce que la rentrée c'est très surfait et qu'on est pas venus ici pour souffrir, l'équipe de FIN DE  SÉANCE a défait ses valises ramenant avec elle un peu de soleil et beaucoup de films.  Un numéro placé sous le signe de la nostalgie et du vintage où chaque chroniqueur vous parlera de SON film de vacances, ce plaisir forcément coupable mais pas nécessairement connu de tous qui a rendu son été plus beau.  Et pour se dorer la pillule autour d'une pinte vous pourrez donc compter sur Thomas "ah qu'elles sont jolies les filles de Tunisie" Camacho, de retour frais comme un gardon rescapé de chez Picard, Pierre "j'ai des acras végétariens à l'huile de coco, qui en veut ?" Delort. A le

"Les femmes et les enfants d'abord !" Oui, dans le cinéma d'horreur - n'en déplaise aux matelots philanthropes - les mioches et les damoiselles se font généralement zigouiller les premiers. Injuste, dites-vous ? Archaïque ? Absolument. Et c'est pourquoi nos deux films de la semaine vous proposent de rétablir une forme de parité salutaire en matière de survie !  Ainsi, SCARY STORIES, film du norvégien André Øvredal co-produit par Guillermo del Toro, prend le parti de confronter les créatures les plus abjectes à une bande de gamins en manque de sensations fortes, le tout dans une Amérique rurale et bigote en passe d'envoyer sa jeunesse mourir sur le front vietnamien.  Enfin, le duo Matt Bettinelli-Olpin & Tyler Gillet achèvera de vous fournir votre dose d'hémoglobine et d'entrailles poisseuses avec WEDDING NIGHTMARE, une comédie d'horreur dans laquelle la blancheur immaculée d'une robe de mariée... se teint rapidement d'un rouge carmin éclatant. Qui a dit que le mariage était mort ? Pour en débattre, to

Putain, 50 ans ! Euh... numéros !  Et oui, cela fait maintenant - 50 numéros - que vous êtes toujours plus nombreux à nous écouter déblatérer des bêtises sur les films qui sortent en salles et nous vous en remercions ! Et quel meilleur moyen pour fêter cela qu'avecONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD, dernière pelloche énamourée de Quentin Tarantino et véritable célébration du cinéma ? Un film qui ne manquera pas de diviser ne serait-ce que pour sa durée (rédhibitoire pour certains, jouissive pour d'autres) de 2h40. Mais voilà, quand on aime on ne compte pas ! Et de l'amour l'équipe de Fin de Séance n'en manque pas comme vous pourrez l'entendre. Si Thomas "The Greatest Showman" Camacho n'a pas pu se joindre à nous pour cause de congés bien mérités, le reste de l'équipe est présente à commencer par Pierre Delort, le Franky Vincent du podcast, tout juste revenu de vacances ensoleillées, Julien Munoz, le Johnny Madrid des salles obscures et Ilan Ferry le Cliff Booth de la bière !  Et qui dit numéro exceptionnel dit

[SPOILER ALERT !]  Avant un 50ème numéro qu'on vous annonce déjà légendaire, la team FIN DE SEANCE a décidé de tisser non pas dans un violon mais dans un micro pour vous causer de Spider-Man : Far From Home, nouveau chapitre des aventures du Spider-Man nouveau incarné par le toujours impeccable Tom Holland.  Tout juste remis du claquement de doigts de Thanos, la plus sympathique des araignées décide de faire un petit tour de l'Europe tranquilou bilou. C'était sans compter une nouvelle menace qu'il devra affronter avec le newbie Mysterio.  En seconde partie d'émission nous vous offrirons un petit tour dans un monde qui n'a jamais connu les Beatles avec Yesterday. Le cocktail Danny Boyle + Richard Curtis + Les Beatles a-t-il réussi à convaincre nos accros du rock ? Et puis, de l'araignée ou du scarabée qui est le plus fort ?  Réponse en a cappella avec Thomas "faut que j'ailler chercher mon fils en boite" Camacho, Pierre "vous nous avez manqué les gars, refaites plus jamais ça" Delort, Ilan "qu'est ce que j

[SPOILER ALERT !] Ils sont de retour ! Presque dix ans après la magnifique conclusion de Toy Story 3, Disney - Pixar rouvre son coffre à jouets afin de nous conter une ultime aventure pour Woody, Buzz & Co. Et pas n'importe laquelle puisqu'il est désormais question de récupérer "Fourchette / Forky", le nouveau jouet fétiche fabriqué par Bonnie qui ne comprend pas son statut d'objet porte-bonheur. Ce dernier, innocent, préférant se loger dans une poubelle ou partir en vadrouille plutôt qu'intégrer la chambre... Alors, alors ? Episode de trop ? Le film de Josh Cooley (story-boarder pour Cars 2 et un des scénaristes de Vice-Versa) retrouve-t-il l'étincelle et le coeur émotionnel des précédents opus de la franchise ? Réponse SANS Ilan Ferry et Julien Munoz, absent pour cause de mariage (bien arrosé), MAIS avec Thomas "c'est mon fils dans le micro-trottoir" Camacho, Pierre "je ris, je pleure, je suis bluffé" Delort et notre invité Mathieu "j'aime les artisans" Poudret VERS L'INFINI ET AU DELÀ ?  Crédits :

Malgré une canicule qui pointe méchamment le bout de son nez, la team Fin de Séance armée de ses micros et de son courage légendaire a pris non pas le maquis mais le chemin du Hurling pour un nouvel épisode estival placé cette fois-ci sous le signe du "bouh fais moi peur...mais pas trop".  Si on vous dit "poupée vindicative" vous nous répondez ? Non pas Toy Story (ce sera pour une prochaine fois !) mais bien entendu Child's Play : la poupée du mal, reboot de la célèbre saga horrifique mettant en scène une poupée ordurière et meurtrière (pas forcément dans ce sens).  Ere du 2.0. oblige, exit les histoires de possession et place à un canevas beaucoup plus "actuel" puisque le nouveau Chucky n'est pas une poupée possédée par l'âme d'un serial killer, mais un ersatz de Google Home ayant un défaut de fabrication ! Et comme débrancher cette saloperie et appeler le service après-vente sur une heure trente de film ça ne fait pas grand chose, ce reboot a préféré jouer la carte du film d'horreur pur et dur, mais cela